Il se lança seul sur le chantier qui conduisait au troisième puits. Celui-ci montait, et au bout d'une dizaine de pas, il haletait. Il était trop fatigué et l'inquiétude pour Fazio agissait sur sa tête comme un vent furieux qui ne lui permettait pas d'aligner les idées, de raisonner avec un minimum de logique. Il n'était pas seulement fatigué, il continuait à avoir peur.