A bon'é ca si mori : heureusement qu'il y a la mort,
dit un dicton rapporté par Sciascia dans Kermesse.
Ce cri du cœur de la sagesse populaire remonte loin,
il vient d'un savoir d'avant la chrétienté,
c'est l'acceptation ironique de l'inéluctable férocité du destin.
(Serge Quadruppani, Préface)