Nous travaillons tous la même laine mais nous tissons des tapisseries différentes.
Qui dit forêt dit arbres et surtout, arbres remarquables… comme le fameux « grand chêne » multi-séculaire de la forêt de l’Isle Adam qui n’a malheureusement pas survécu à la tempête de 1999.
En la matière, peu importait que les travaux relèvent des sciences de l'Homme ou de la Terre. Qu'en est-il aujourd'hui de notre connaissance des phénomènes anciens et actuels ? Sommes-nous moins ou plus catastrophistes que nos ancêtres ? En effet, voilà longtemps qu'on associe " Eau et Arbre " : on sait qu'un grand ligneux a besoin, pour survivre et prospérer, de mobiliser les réserves hydriques du sol et que ses exigences varient selon l'espèce, la station, la saison ; on sait aussi que ces données changent quand l'arbre n'est pas isolé, mais immergé dans une société d'arbres où interfèrent faune et flore. Cela conditionnait les plantations et les reboisements. Pourtant, on eut du mal à en prendre conscience. Or ces plantations, ces reboisements, on les faisait pour lutter contre les conséquences des inondations, tel le ravinement des sols, la destruction des maisons, la ruine des villages de haute montagne.
Ainsi, en termes d'occupation du territoire, si les places respectives de la Forêt et de la Vigne reflètent les pratiques alimentaires et hygiéniques d'une population donnée, leurs fluctuations parfois brutales traduisent les pénuries liées au contexte des guerres ou à une catastrophe écologique comme le mildiou, l'oïdium.
Notre époque est portée au métissage, à l'exotisme. Cela joue pour le meubles, les vêtements, les goûts culinaires. La tendance résulte des voyages sur la planète, de l'envie d'avoir chez soi les produits découverts ailleurs.
Le château centre de l’étoile de chasse, reflète l’image de ce roi soleil qui rayonne sur son domaine à travers la chasse.