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4.07/5 (sur 59 notes)

Nationalité : Pays-Bas
Né(e) : 1974
Biographie :

Anita Terpstra a étudié le journalisme et l'histoire de l'art.

Son premier roman, "Nachtvlucht" (2009), a été nominé pour le Shadow Prize et le Crimezone Thriller Award.

"La Loi du silence" (Anders, 2014) est son quatrième roman.

son site: http://www.anitaterpstra.nl/
Twitter: https://twitter.com/anitaterpstra

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Il était en train de faire ce dont tout père rêvait de faire avec son fils. Lui apprendre à marcher... Lui apprendre à faire du vélo... Lui apprendre à jouer au foot... Lui apprendre à conduire... Lui apprendre à vivre...
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" Nous devons dire la vérité, assena-t-il en évitant son regard.
- Pourquoi ?
- Parce que les secrets, ça vous détruit.
- Pas moi, eut-elle envie de dire, mais elle savait qu'il n'en allait pas de même pour lui."
(p 132)

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C'était un homme de principes. Mais on ne partage pas sa vie avec des principes, les principes ne vous réchauffent pas quand il fait froid dehors, les principes ne vous font pas rire aux éclats. (p. 258)
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Si les hommes avaient été chassés du paradis, c'était en raison de leur goût de l'argent. Voilà comment il fallait comprendre cette histoire de pomme. La jalousie avait corrompue leur âme. Il était désormais trop tard pour inverser le cours des choses. L'humanité courait droit à sa perte. Heureusement, certaines personnes se réveillaient à temps et parvenaient à se libérer du joug du capitalisme. (page 27)
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Elle avait souvent pensé que c'était trop de bonheur, qu'un jour cela s'arrêterait. Comme si une quantité déterminée de joie était attribuée à chaque être humain et qu'une fois cette quantité vécue, c'était fini. Qu'elle idée insensée. Mais quand même.... Quand Sander avait disparu, elle s'était dit que l'heure était venue de payer le tribut.
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Elle eut envie d’être l’hélicoptère. Elle serait montée au-dessus des arbres et aurait survolé la forêt. Tel un aigle, elle aurait repéré son petit, plongé en piqué, et l’aurait saisi dans son bec pour le ramener au nid sain et sauf.
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Quand le temps était à la tempête, n’importe quel arbre pouvait tomber n’importe quand, comme s’il abandonnait subitement la lutte qu’il menait contre le vent depuis plusieurs décennies. La foudre, aussi, pouvait s’abattre à tout moment. Le pire, pourtant, pour lui, c’était de ne jamais voir la lumière directe du soleil. Et puis, même quand tout allait bien, il y avait les nuits. Dans l’obscurité, les bruits résonnaient plus fort, parfois jusqu’à lui en faire mal aux tympans. Le bruissement des feuilles, les cris des animaux sauvages, le cliquetis continu de la pluie sur le toit, qui fuitait par moments…
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Les gens se souriaient et se disaient des gentillesses, mais en réalité ils se détestaient cordialement. L’argent était plus important que tout le reste. Les gens rivalisaient entre eux pour savoir qui possédait la plus grosse voiture, la plus belle maison, s’offrait les vacances les plus chères. Ils se laissaient mener par le bout du nez par leur cupidité imbécile.
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Elle était restée attirante, même si elle ne se préoccupait pas beaucoup de son apparence. La nature l’avait heureusement dotée d’une peau lisse, de pommettes saillantes et de fossettes qui lui donnaient du charme. Sous son apparence délicate, c’était une femme de la campagne : elle savait ce qu’elle voulait, et elle était capable de serrer les dents pour l’obtenir.
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Le communisme était plein de règles et d’injonctions, et il ne tolérait pas qu’on lui commande quoi faire de sa vie. Il y avait d’autres hommes comme lui, mais ils formaient une minorité. Personne ne les écoutait. On les prenait pour des fous. Certains ne le supportaient pas et sombraient dans l’alcool ou la drogue.
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