Tous s’accommodaient très bien du silence de la forêt, seulement rompu par le vent et le passage des animaux, les laissant plongés dans leurs pensées.
Souvent, il s’écoulait une journée entière sans que soit prononcé plus d’un mot par-ci par-là ; l’essentiel de leurs échanges passait par les gestes, les sourires et les regards.