Puis j’allais me coucher. Je ne me sentais pas très bien. Mon obsession pour lui était ridicule, entièrement ridicule. Je ne pouvais pas me laisser prendre par mes sentiments quand il s’agit de mon patron. Je devais m’arrêter maintenant. Mais en même temps, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à ces textos incessants. Et ce n‘était pas une idée que je me faisais, puisque même Julie l’avait remarqué. D’accord, il avait sûrement quelques conquêtes, mais autant ce n’était pas possible par rapport au temps qu’il passait à l’hôpital, et encore moins autant de femmes différentes. Je veux dire, qui arrive à gérer autant de femmes dans sa vie ? Y’a forcément un moment où ça ne fonctionne pas. Je ressassais toutes les possibilités, sans qu’une seule m’apparaisse vraiment de manière cohérente. C’était à n’y rien comprendre. Puis je me souvins que ce n’était pas mes oignons, et m’endormis.
Son plaisir est au summum, il n'a même pas envie de participer, il veut juste la voir se faire prendre, et jouir à côté d'elle, ou sur elle. Julien la baise de plus en plus sauvagement, mais les autres garçons veulent changer : Jack remplace Julien dès qu'il sort, sa bite est beaucoup plus imposante que la sienne : elle est plus large, et Aurélie a l'impression d'être déchirée en deux. Théo s'allonge près d'elle, et lui touche l'anus. Ses doigts la chatouillent, doucement, caressent ses fesses rebondies et il lui insère doucement un doigt. Elle n'a jamais connu cette sensation, elle sent le sexe de Jack, énorme, à l'intérieur d'elle, et le doigt de Théo qui la fouille doucement, simultanément. Elle halète, gémit, puis sent quelque chose forcer dans son cul, il est en train de la sodomiser en même temps que Jack la pénètre. Il l'enfonce doucement, mais sûrement, et finalement il arrive au bout, il est au plus profond d'elle.
La tenue met en valeur Aurélie : la jupe dévoile ses longues jambes galbées, musclées, et son petit cul bombé. Le haut moule ses seins, elle n'a pas besoin de soutien-gorge, elle a la poitrine ferme et fière d'une jeune fille en fleur. Le bleu foncé, à peine pailleté, rehausse son teint qu'elle a très clair et sans imperfections. Ses vingt-trois ans lui donnent un air un peu enfantin, contredit par ses formes parfaites. Son visage d'ange aux lèvres pulpeuses semble toujours un peu étonné, elle est vraiment très belle, en particulier ce soir.
Ce que Jean-Marc préfère, c'est s'asseoir sur une banquette et regarder Aurélie se trémousser avec d'autres hommes. Ça le fait bander plus que tout. Il la regarde se serrer contre des inconnus, frotter ses fesses parfaites contre leurs entrejambes. Il regarde encore quand ils lui empoignent les seins, quand ils ont les mains baladeuses et que celles-ci se glissent discrètement dans l'entrejambe d'Aurélie, au milieu des autres danseurs. Alors, il va aux toilettes et se masturbe, pensant à sa moitié dans les bras d'autres hommes.
Elle ne l'a jamais vu comme ça, il semble dans un rêve, son fantasme depuis toujours est devenu réalité. Elle suffoque presque mais continue pourtant à ressentir du plaisir, prise comme ça, sans volonté. Les cinq garçons éjaculent l'un après l'autre, presque en rythme. Elle est couverte de sperme, ne sent rien d'autre que du plaisir partout dans son corps. Ses fesses lui font mal, ce n'était pas sa première sodomie, mais elle l'avait encore peu pratiquée, et les deux sexes l'ont presque déchirée.
J'adore me branler en la regardant se faire prendre, en sachant qu'elle est à moi. Ça m'excite énormément.