Je ne peux pas lui dire que sur cette plage je me sens complexée et malheureusement il a raison, mon vêtement goutte de partout – ce qui n’est pas non plus super glamour. Après un moment d’hésitation, je me lance. J’enlève ma tunique et l’essore un peu. Je me dépêche de prendre mon sac pour me couvrir un peu, tel un rempart entre mon corps et le reste du monde. Oui, ce n’est qu’une illusion mais laissez-la-moi un peu, c’est ça ou je pique la pelle d’un gamin pour m’enterrer dans le sable puisque courir comme une dératée n’est pas envisageable – nous sommes trop loin de l’appart. Oui, c’était ma première idée.