Certains considéraient le cercueil comme une bagatelle nécessaire, d'autres comme la dernière demeure du défunt, ou comme une embarcation ou un lit. Il se souvenait d'une mère qui avait perdu sa fille de trois mois, morte dans son berceau, et qui avait posé la main sur le petit cercueil long de quarante centimètres en disant : - C'est ton berceau désormais, ma chérie, tu vas y dormir pour l'éternité et je penserai à toi dans ce petit berceau-là