l'effigie de Feneon déploie selon les termes qu'il a lui même appliqués à la peinture de Signac "un art à grand développement décoratif, qui sacrifie l'anecdote à l'arabesque, la nomenclature à la synthèse, le fugace au permanent, et dans les fêtes de prestiges, confère à la nature que lassait à la fin sa réalité précaire, une authentique réalité.