J'assistai complètement impuissant à cette comédie. J'avais beau concentrer toutes mes facultés logique pour tenter de comprendre le subterfuge, je ne parvenais pas à expliquer comment il était techniquement possible de faire apparaître un pareil simulacre d'être humain, qui bougeait, qui donnait la réplique et qui se permettait même de faire de l'humour. [...]. J'étais dans la vraie vie, spectateur interloqué d'une véritable séance spirite, le cerveau asphyxié sous un déluge ininterrompu de questions.