[...]
Parce que j'ai beau te regarder,
tu peins sans sourciller,
la forêt, ses nuages et la pluie,
mille monts aux nombreux arbres rouges,
les cloches d'un monastère plein de brume,
et les brouillards, les murmures
qui hantent là-haut,
tout en haut sur les sommets,
ledit Pavillon Haut.
(p.85, fin du dernier poème "JADE CHERCHAIT TOUJOURS")