Ils furent, pendant une dizaine d’années, la seule présence animale apportée par moi dans ce jardin. J’admirais leur aisance à passer du dedans au dehors, habitant indifféremment l’un et l’autre avec autant de grâce. Ils étaient le lien entre nous et la nature, le trait d’union entre le sauvage et le civilisé, indispensables à l’harmonie de la vie dans cette campagne.