Je ne crois pas qu'on retire toujours du profit à lire ce que l'on préfère. Le danger d'un pareil choix est de se laisser guider par la pente des défauts que l'on a, bien plus que par le besoin des qualités que l'on cherche. Peut-être gagnerait-on davantage à essayer de goûter ce que l'on n'aime pas.
LA FORMATION DU STYLE PAR L'ASSIMILATION DES AUTEURS, Chapitre I.