Si le fascisme fossile domine encore aujourd'hui à l'extrême droite, des formes marginales d'appropriation sincère de la question écologique existent au sein de celle-ci. Reconnaître leur sincérité ne revient pas à les accréditer, mais seulement à considérer ces appropriations comme un véritable danger politique, auquel écologistes comme antifascistes devraient accorder plus d'attention. (9)