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4.38/5 (sur 4 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , 1640
Mort(e) à : Aix-en-Provence , le 11/10/1685
Biographie :

Antoine Jacob, dit Montfleury, est un acteur et dramaturge français.

Il prit le surnom de Montfleury que Zacharie Jacob, son père, avait porté lui-même en embrassant l’état de comédien qu’il exerçât longtemps et dans lequel il mourut.

Montfleury fils avait fait de bonnes études et fut reçu avocat, mais il quitta le barreau pour entre au théâtre où il remplit avec succès l’emploi des rois.

"Le Mariage de rien", sa première comédie, fut jouée en 1660, sous le nom de Jacob. Il donna successivement, en 1661, "Les Bêtes raisonnables", comédie en un acte, en vers ; en 1663, "Le mari sans femme", comédie en cinq actes, en vers, l’"Impromptu de l’hôtel de Condé", comédie en un acte, en vers, et "Trasibule", tragi-comédie en cinq actes.

"L’École des jaloux ou le Cocu volontaire", comédie en trois actes, en vers, parut pour la première fois en 1664 ; elle eut du succès.

Les trois dernières pièces que Montfleury ait fait représenter sont "Trigaudin ou Martin braillard", comédie en cinq actes, jouée le 24 janvier 1674 ; "Crispin gentilhomme", et "La Dame médecin", l’une jouée en 1677 et l’autre en 1679.

Il paraît que Montfleury avait quitté le théâtre avant 1678.
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Source : http://www.xn--thtre-documentation-cvb0m.com/content/montfleury-antoine-jacob-dit
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Que Monfleury s'en aille...


Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Constance
Ces transports de courroux n'aboutissent à rien ;
Il faut, à nos plaisir quand le malheur succède,
Se payer de raison quand il est sans remède.
Faites ce que pour vous j'ai fait jusques ici.
Vous m'aimiez, disiez-vous, je vous aimais aussi ;
Vos yeux, qui me cherchaient avec un soin extrême,
m'ont vue avec plaisir, je vous ai vu de même ;
Mon coeur, d'un vain espoir ayant su se flatter,
Dans ses empressements a su vous imiter,
Et préférant enfin votre ardeur à toute autre,
Mon coeur jusqu'à présent s'est réglé sur le vôtre.
Puisque enfin à changer mon âme se résout,
Changez à mon exemple, et m'imitez en tout ;
Si pour un riche époux je vous suis infidèle,
Prenez une maitresse et plus riche et plus belle ;
Cherchez à mon exemple à vous mieux engager,
Et profitons tous deux du plaisir de changer.
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Julie
Vous faut-il des serments pour vous en assurer ?
Puissé-je, pour souffrir une gêne éternelle,
Eprouver à vos yeux la mort la plus cruelle,
Que la foudre du Ciel m'écrase à vos genoux,
Si tant que je vivrai vous l'avez pour époux.
Après cela, Madame, êtes-vous satisfaite ?
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Bernardille
Ta raison n'est pas forte ;
Le mérite est un sot si l'argent ne l'escorte.
Vouloir sans intérêt faire agir la faveur,
C'est savoir mal son monde, et risquer son bonheur.
Mais avec ce secours, pour peu qu'on sollicite,
L'argent passe, morbleu, sur le ventre au mérite.
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