« La ville a beau être saturée d’immeubles et de passerelles, toutefois, en retrait des grands magasins, une impression de calme s’installe. Les voitures glissent sans bruit, claires et nettes, sur fond d’une harmonie douce de couleur gris bleuté. Le fond de l’air semble étonnamment pur. La poussière est absente, chassée. La lumière conviée. On dirait que les architectes ont étudié toute la gamme chromatique des nuages. A tel point que l’ensemble finit par paraitre léger, comme si il n’y avait… rien ! Dans cette nouvelle neutralité, perce le cri d’un corbeau » Antoine Kruk – Pleinement vide