Cher Christophe Dettinger,
Je commence à écrire ces lignes, dans la deuxième semaine de février 2019, alors que vous êtes embastillé depuis plus d'un mois, en détention provisoire, à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.
Ici, j'ai d'abord fait une sorte d'apologie de vous-même, mais il faut entendre "apologie" au sens de justification, de défense, en aucun cas d’idolâtrie.
J'ai ensuite poursuivi mon travail dans le but de démasquer la déviance monarchique du "régime Macron", en m'en tenant autant que possible, aux vérités de fait qui révèlent l'abus présidentiel de tous les pouvoirs. C'est donc aussi le récit d'une résistance à la tyrannie.
Bien entendu, je suis le seul responsable de ce qui est écrit dans ces pages.