Une ultime palabre qui répondrait au premier mot de la toute première histoire, à ce “comancer” [...], clore son édifice littéraire [...] sur le verbe “finir” ou “terminer” [...], puis il se dit que son projet était puéril [...], et que de n’avoir pas pu écrire “finir” ou “terminer” sur une dernière page avant sa mort n’est qu’une défaite de plus.