J'ai compris , par la guerre, puis par Guillaumet, qu'un jour j'allais mourir. Ce n'était plus cette mort abstraite de poète, qu'est un événement sentimental, et un souhait dans le chagrin. Aucun rapport. Il ne s'agissait plus de cette mort que pense le garçon de seize ans "las de la vie". Non. De la mort d'homme. De la mort sérieuse. De la vie révolue.