- Je t’aime, mais si je t’épouse tu causeras ma perte. Tu ne m’apporterais ni fortune ni nom… Le mariage, mon ange, c’est la moitié d’une carrière. […]
- Tu m’as donné ta parole d’honneur que tu allais m’épouser… Tu me l’as bien donnée ?
- Oui… Mais à présent mes projets sont changés. Tu te marierais avec un pauvre, toi ? Pourquoi veux tu m’obliger à épouser une fille pauvre ? Je n’ai pas envie d’agir comme un cochon à l’égard de moi-même. J’ai un avenir dont je dois être responsable devant ma conscience.
(Lequel des trois ?)