Alors, j'ai proposé à Josette d'emporter son repas. Ces restes qui n'en sont pas, qui ne l'ont jamais été. La part soigneusement mise de côté au contraire et que Josette dépose dans la cuisine chaque jour. Passant par la porte arrière, sans déranger le vieux Georges resté dans sa librairie. Convaincue, avec cette certitude des vieilles qui ne sont presque pas allées à l'école, qu'à force de lire, il en oubliera de manger.