Je crains bien de m'être réjoui de la souffrance de Stembert.
Je sais qu'en écrivant cela je passerai pour une franche crapule.Pourtant, les sentiments qui s'emparent de nous, ce n'est pas ça, selon moi, qui nous transforme en crapules. La vraie crapulerie, c'est celle de la vie. La vie fait de nous des bêtes enragées.