Il n'a pas de puissante machine administrative à sa disposition; sa position personnelle reste, jusqu'à la fin, incertaine, fragile, soumise à la volonté du roi, à son caprice même. La puissance des réseaux personnels pallie la faiblesse d'une administration encore émergente.
Les circonstances, qui sont celles d'une crise généralisée du royaume, ne permettent pas au cardinal de mettre en oeuvre une réforme d'ensemble. Du moins peut il lancer des initiatives qui se greffent sur des événements , mais sont appelées à durer au-delà.