Je crois absolument que rien mieux que le sport pratiqué en pleine nature ne permet le plein épanouissement de l'individu. Et quand je dis sport, je pense aux sports de glisse, ces jeux où l'homme ne s'oppose pas en force aux éléments mais utilise les énergies naturelles, la pesanteur, les vents, les courants et les vagues de la mer, pour trouver de nouvelles dimensions à ses aspirations. (chap. 8)
Je fais un grand bond en arrière : il y a un scorpion au creux du matelas ! Un scorpion, ici, dans le Pacifique, sur mon bout de planche ! [...] J'avais rarement vu de si près un spécimen de cette taille. Comment a-t-il pu venir se fourrer ici ? [...] J'imagine un instant qu'il m'ait piqué, que je sois mort de son venin : qui aurait imaginé que le planchiste solitaire du Pacifique a disparu, non pas avalé par l'océan, mais abattu par un scorpion.. (chap. 20)