J’écoute le craquement de toute chose dans la nuit manosquine. J’observe l’éclat violet de la rosace de l’église Saint-Sauveur. Et je pense à Jean. Je pense qu’il est temps que nous fassions la paix. Je regarde les toits, la rosace, le vent qui glisse entre mes pieds, et nous reprenons notre conversation où nous l’avions laissée. ("Une nuit à l’hôtel Voland", Pierre Ducrozet)