Il se retrouva en train de marcher dans une immense chambre dépourvue de murs, sous un plafond bleu et cintré. La pièce était capitonnée, non seulement pour empêcher les bruits de sortir, mais aussi pour les empêcher d’entrer. Le bruit était un mirage auditif, et le silence était réel et menaçant, pesant sur les oreilles de sorte que l’on pouvait entendre son cœur ronronner comme le moteur qu’il était. Page 80