Ainsi va le monde : quand les dieux s’amusent, les mortels en abusent !…
On n’ose pas me tuer, on veut seulement me rendre fou, par des artifices, puis me faire disparaître dans une maison blanche.
Les autres ne peuvent rester heureux sans me faire souffrir.
Me voilà tombé de l’athéisme dans la superstition la plus complète.
Ce livre est celui du grand désordre et de la cohérence infinie..