FLUX
Il y avait…
Il y avait quelque chose.
Il y avait le vent, la vie et la chute. Il y avait
les volutes, il y avait la pluie. Il y avait l’orage
et la violence. Il y avait la mort et ses sourires.
Il y avait le mal. Il y avait le mal.
Il y avait quelque chose.
Il y avait la vitesse, il y avait la course. Il y
avait la peur.
Il y avait la violence. Il y avait le mal.
Il y avait les cris d’un animal mourant.
Il y avait la contingence.
Il y avait le goût amer de la salive gorgée
de sans.
Éblouissante beauté de l’échec inertiel.
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