La physique n'a pas vocation à énoncer des vérités absolues ou des certitudes éternelles. Il lui est structurellement impossible d'aspirer à de tels discours qui relèvent davantage de la théologie que de la science. Cette dernière – aussi indéfinissable soit-elle – compose, comme la philosophie, la littérature et la poésie, avec le doute, l'incertitude, l'imprévu et l'indécis.