Pour les énergies de réseau, les choses sont plus compliquées. Puisqu’il serait économiquement aberrant de démultiplier les infrastructures de transport, il faut passer par la « dé-intégration verticale », qui consiste à séparer les activités de production, de gestion de réseau et de commercialisation, puis à introduire la concurrence en amont et en aval du réseau