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J'aime bien ce plan
-Et ce, même s'il vient de moi ?
-Même un poulet aveugle trouve un grain de temps en temps
-Très drôle
-Non, sérieusement. Ce que tu proposes me semble raisonnable
-Vraiment ?
-Tu as l'air surpris ?
-Après t'avoir vu dans cette robe, plus rien ne me surprend
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Chapitre 3 :

Dakota

«…— J’ai encore des choses à vérifier avant la prochaine course. C’est pourquoi je ne peux pas me permettre de faire des grandes sorties.

— Même pas avec le PDG de l’un de vos plus gros sponsors ?

— Vous parlez de vous, Monsieur Parker ?

— Voyez-vous un autre PDG que moi ici, Mlle Bennet ?

Je regardai ostensiblement autour de moi, ce à quoi il répondit par un reniflement amusé.

— Vous avez l’air surprise, Mlle Bennet ?

— C’est parce que je me demande pourquoi vous voulez justement passer votre précieux temps avec moi au lieu d’agrandir votre empire, en suivant librement la devise «L’argent ne dort jamais». …»
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Chapitre 3 :
Dante
«… Riley me dévisagea comme si j’étais un serpent hautement dangereux qu’il lui fallait tuer immédiatement. Je soutiens son regard. Il était évident que ce n’était pas moi le serpent. Elle était un mamba noir.
— Si tu as des questions, tu peux les poser à Toni et moi. Sinon, file d’ici, que je puisse discuter avec ma coordinatrice événementielle de la réunion de demain tranquillement, dit Byron.
— On en reparlera plus tard. Il y a une meilleure façon de me le dire que de lancer une grenade…, se plaignit le mamba noir, désapprobateur.
Elle gratifia Toni d’un regard assassin et me passa devant, la tête haute.
— Di Santo ? Tu te ramènes ? Tu n’es pas payé à rester là bêtement. Et puis, je n’ai pas toute la journée…, me lança-t-elle en se dirigeant d’un pas déterminé vers l’un des bureaux adjacents sans un regard pour moi.
Je la suivis à contrecœur.
Ça allait être drôle. …»
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Chapitre 2 :

Riley

«… — Alors je veux une augmentation, minimum 25% !

— Bien tenté, Riley !

— Ça va me vieillir prématurément en quelques semaines si je dois faire la nounou pour ce type ! Une augmentation, ce serait le minimum. Il va falloir que je teigne tous les cheveux blancs que je vais me faire à cause de lui, c’est pas donné. Pas donné du tout !

— On trouvera un compromis. Et puis, ce ne sera pas aussi terrible que tu l’imagines.

— Byron, je te respecte beaucoup, mais à ta différence, je connais Dante Di Santo, alias Il Diavolo. Et si je peux t’assurer d’une chose, c’est que personne au monde ne mérite mieux son surnom que ce type !

Byron pinça les lèvres et j’espérai très fort pour lui qu’il arriverait à dissimuler son sourire éclatant. J’étais déjà assez furax, et peu m’importait qu’il s’agisse du directeur d’écurie et du team-manager, les deux gros bonnets de l’écurie.

— Dante est un foutrement bon pilote, Riley. On peut s’arranger avec lui pour rester dans la course pour les championnats du monde jusqu’au retour de Juan, tenta Toni.

— Dante est aussi le seul pilote qui a le talent nécessaire pour retourner la situation. Tu veux gagner ou tu ne veux pas gagner, Riley ?

— Bien sûr que je veux gagner, mais à quel prix ? Oui, OK, ce gars peut y arriver. Il sait piloter une voiture, mais pour le reste, c’est un désastre pour une attachée de presse. Je ne lui donne pas vingt-quatre heures avant qu’il ne finisse dans une baston dans un bordel, conduise en état d’ivresse ou se mette à poil sur son balcon pour pisser sur les passants…

Je croisai les bras sur ma poitrine, clairement énervée.

— Si ce sont les pires histoires que l’on t’a racontées sur moi, ma jolie, tu es une attachée de presse encore plus mauvaise que je ne l’aurais cru…»
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Chapitre 2 :

Grayson

«… — Nous aurons le marché si je présente une épouse honorable qui m’aime et me respecte.

Maxwell lissa échapper un son amusé. Puis un autre. Et encore un autre. Finalement, il éclata de rire.

— Elle est bien bonne celle-là, souffle-t-il en se tenant le ventre à force de rire. J’ai failli croire à ces conneries, Gray.

— Je suis d’accord avec toi : ce sont des conneries. Des conneries à l’état pur. Mais malheureusement, ce n’est pas moi qui l’ai inventé. L’offre est liée à cette condition.

Mon ton tranchant fit taire Max. Sans un mot, la bouche ouverte, il me regarda.

— Quoi ?

— Ce n’est pas une blague ?

— Non.

— Tu es sérieuse ?

— Est-ce que j’ai l’air de plaisanter ?

— Eh bien moi… je n’y crois pas.

— Ils sont tous mortellement sérieux, Max. Je fis une moue dédaigneuse et me touchai la racine du nez dans une pitoyable tentative de soulager mon mal de tête lancinant.

— Mais pourquoi ?

— Parce que c’est un projet phare. Pour les princes. Pour la nation. Pour ce monde de merde qui le verra dans les médias et en sera émerveillé. C’est pourquoi l’image doit correspondre. Ils veulent un homme propre à leurs côtés. Bien placé, bien entouré. Éloquent, bien sûr. Bien éduqué. Humain, avec des qualités humaines. Conscient de ses responsabilités. Marié. Un homme d’affaires prospère qui incarne les valeurs occidentales que les gens de l’Est respectent et considèrent comme respectables.

— Cela ne te ressemble pas du tout.

— Je ne laisserai pas ce projet me filer entre les doigts, ai-je grogné. Pas question !

— Et comment vas-tu convaincre les princes de te donner le marché en tant que célibataire convaicu ?

— En remplissant leur condition. Je vais me marier. …»
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Chapitre 2 :

Allegra

«… — Ils arrivent ! couina Kenzie avant de se ruer vers son supérieur, qui était accompagné d’un homme qui fit s’arrêter mon cœur pour ce qui parut durer une éternité.

Je lâchai un hoquet de surprise.

J’étais en plein rêve. Ce n’était pas la réalité. C’était impossible.

Mon cœur se mit à s’emballer férocement. Comme si je venais de sauter d’un avion et que je n’arrivais pas à ouvrir le parachute.

Les poils se dressèrent dans ma nuque quand nos regards se croisèrent, même s’il paraissait beaucoup moins surpris que moi.

Je connaissais plutôt chaque centimètre carré de son corps.

Enfin, je connaissais plutôt chaque centimètre carré de son corps.

Cet homme m’avaient sautée comme personne six mois plus tôt, au mariage de ma sœur. Deux jours et deux nuits, non-stop. …»
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Chapitre 3 :

Hunter

«… Si un regard pouvait tuer, je me serais effondré dans la seconde. Allegra me fusillait tant des yeux que j’en avais presque mal.

Aussi galamment que possible, je lui tendis la main, m’efforçant de garder un ton détaché.

— C’est un plaisir. Je me réjouis de notre future collaboration.

Elle fixa ma main comme s’il s’agissait d’un serpent venimeux, et quand elle daigna enfin la saisir, ce fut pour la comprimer entre ses doigts.

— Tout le plaisir est pour moi, Byron. …»
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« Je restai là, les genoux tremblants sans savoir ce que je craignais le plus : que Dante gagne la course du lendemain ou qu’il la perde. »
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— Attends un peu qu’il débarque, se défendit-elle. Quand tu verras ce type, tu comprendras. Il est tellement canon que quand tu l’auras devant toi, tu ne sauras même plus comment tu t’appelles. J’étais bien trop occupée à l’imaginer tout nu pour me soucier de ses compétences professionnelles, ma belle.
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C’était le genre de femme dont les hommes avaient peur : sexy, déterminée, charismatique, accomplie et indépendante. Elle n’avait pas besoin d’un homme pour mener une vie heureuse et épanouissante.
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