L'air est aussi plus doux qu'aujourd'hui, les gens moins craintifs, les crises n'ont pas ruiné la confiance que l'on peut se porter. Dans les années qui suivent, le relégation et la misère nécrosent le tissu. Il durcit. J'imagine que plus personne ne prendrait, aujourd'hui, la montre de mon père en gage d'une livre de bourguignon.