Très belle poésie empreinte de mélancolie.
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sans doute le livre le plus abouti de l'auteur, avec une écriture limpide, des envolées lyriques qui nous font oublier que nous sommes dans un récit. Le livre renseigne sur une population que je ne connaissais pas. Son mlode de vie, ses us et coutumes. En somme, nous avons ici un très beau témoignage. Mon seul souci c'est la fin quelque peu tragique du personnage principal auquel l'on s'identifie. Pourquoi une telle chute ? paresse de l'auteur ? Manque d'idée ? Je ne peux me prononcer.
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Ce qu'il y a de bien réussi dans ce livre c'est la façon dont l'auteur raconte son histoire. Une dualité dérision / autodérision qui ne laisse pas indifférent.
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Je lis petit a petit, mais j'ai déjà pu lire plusieurs certains des poèmes de ce recueille. Et je peux vous dire qu'ils sont vraiment très touchant. Ils sont beau, remplie de mélancolie, de tristesse, d'émotions.
C'est tellement beau et bien écrit., je prend plaisir a lire ce recueille mais je le déguste. Je ne veux pas tous les lire d'un cou.
C'est touchant. Je ne suis pas une grande experte en poésie, j'ai donc profiter de cette masse critique pour tenter et quelle belle découverte.
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Eh oui, chers amis virtuels, moi aussi, j’ai eu le bonheur de lire L’Exotique de notre compatriote Ayi Hillah.
Je l’ai commencé, non par envie, mais par curiosité. Curiosité née des plusieurs notifications via Facebook qui tombaient comme des insectes lors des pluies tropicales dans ma boîte à courriel...
D’ailleurs, c’est par un temps pluvieux que j’ai ouvert la première page. Le premier paragraphe a donné le ton, mon esprit bien que fatigué, a vite pris goût. Je ne pouvais déposer cette œuvre qu’une fois la dernière page lue !
Je partais à la découverte d’un roman autobiographique, mais j’y ai fait des découvertes plus enrichissantes :
1. une œuvre qui se veut simple, mais imbibée d’une bonne dose de traditions anthropologiques.
2. Chaque page est imprégnée de cet accent doux qui a pour dessein de préserver le lecteur de la douleur singulière que ressent le narrateur dans ces contrées aux mœurs inconnues.
3. C’est une épopée à la Hillah : Elle raconte la témérité quotidienne de milliers de jeunes intellectuels Africains qui partent « chercher une place au soleil là-bas, dans ces pays où l’astre roi est véritablement un produit rare ! »
Le narrateur fait part de ses observations et faits, laissant libre choix au lecteur éclairé de définir l’exotisme. Est-ce le sujet confronté pour la première fois, je suppose, à sa personne qu’il décrit comme " un corbeau noir dans une armée de colombes" qui constitue l’exotique ? Ou sont-ce plutôt ses curieuses rencontres ignorant tout du monde à lui ?
Je ne jette pas de fleurs; je les trouve trop belles pour être jetées. Alors, mon cher Ayi Hillah, tu devras te contenter d'une poigne franche pour ce travail qui m’a rappelé Chinua Achebe dans Le monde s’effondre. Les raisons ? Je te les adresserai dans une critique prochaine.
Merci de m'avoir fait découvrir la Silésie si proche et pourtant si loin!
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Jolie recueil de poésie que j'ai étonnement apprécié lire. C'est doux et subtile sans aller dans le trop "gnangnan". Je n'ai pas eu de de poésie préférée dans ce recueil, je n'ai pas été particulièrement touchée, mais il y a un joli passage que j'aime relire je ne sais pas pourquoi. Un passage qui montre la beauté de la plume d'Ayi Hillah et un bel exemple des métaphores qu'il construit :
"Éternelle Orchidée, mon amour de toujours
Quand ma lyre s'éteindra, tu garderas ses cordes."
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Il était une fois un recueil de poésie qui se lit comme l eau s écoule paisiblement dans sa source tant on est à touchés par la douceur et la musicalité des vers.
Ce recueil est bouleversant d émotions que l on prend plaisir à partager avec l auteur.
On pleure avec lui l être aimé perdue et l on fond devant l être aimé retrouvé.
C est également un voyage poétique où les rimes nous emmènent dans les lieux chers à l auteur.
La fin quoique moins joyeux est plus mélancolique traite du dernier voyage.
La justesse des mots soulignent la douleur racontée.
Je vous laisse sur ces vers :
"Repose en paix, toi dont le parcours est raccourci.
De nous, pauvres vivants, n aie point le souci
Va, va dans l ombre au royaume de la mort
Là, tu seras la seule lumière qui éclairera le port. ( écris à Fontaine l Évêque )"
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