« Les Occidentales sont celles qui se tiennent au courant de tous nos rendez-vous, dentiste, oculiste, examens cardiologiques. Alors, s'il arrivait quelque chose, elles sauraient exactement quoi faire. Elles voleraient à notre secours. Elles nous traîneraient à l'hôpital. Elles laisseraient les médecins nous fourrer des tubes partout. Vous savez ce que sont les hôpitaux dans ces pays occidentaux. Ces Farangi ne nous laisseraient pas mourir.
Mais nos chères compatriotes, nos bien-aimées belles-filles persanes pleureraient, se mettraient dans tous leurs états, feraient naître une palabre grandiose, mais, que Dieu les bénisse, elles nous laisseraient partir. » (pp. 224-225)