En voilà un dans l’esprit duquel aucune place ne devient dure, et qui ne sent pas tout à coup son âme à gauche, du côté du cœur. En voilà un pour qui la vie est un point, et pour qui l’âme n’a pas de tranches, ni l’esprit de commencements. Une espèce de déperdition constante du niveau normal de la réalité.