39. D'abord, parce qu'il y en a d'autres qu'elle, qu'une langue n'est une langue qu'avec le concours des autres, et que ses traits singuliers ne se perçoivent jamais aussi distinctement qu'à partir d'une autre langue: «Aucune langue n'est, sans le concert des autres », disent Edouard Glissant et Patrick Chamoiseau.