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4.28/5 (sur 72 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1971
Biographie :

Barbara Laurame est une écrivaine française.

Elle écrit depuis plus de vingt-cinq ans mais n'avait jamais franchi le pas de la publication.

Elle mit l'écriture de côté pendant qu'elle élevait ses deux filles, puis grâce aux réseaux sociaux, eut le plaisir de recommencer. C'est lors d'un défi d'écriture en 2016 sur un groupe Facebook que son histoire prend vie.

D'abord publiée sur Short Édition, elle fut encouragée par plusieurs de ses lecteurs, et un en particulier qui l'aida à retravailler son histoire pour mener l'aventure beaucoup plus loin.

"Les fantômes du passé" (2018) est son premier roman publié.

page Facebook : https://www.facebook.com/barbara.laurame.auteur
Twitter : https://twitter.com/BarbaraLaurame
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Source : amazon
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Nous étions décidés, nous voulions un enfant. Nous avons donc effectué toutes les démarches nécessaires. Nous nous aimions, ton père avait une bonne situation : nous avions le profil parfait pour une adoption. Nous avons été exaucés, l'agence nous annonçait la naissance d'une petite fille, dont la maman, qui n'avait aucune famille, venait d'être victime d'un accident de la route. 
Tu as été notre petite miraculée. Nous sommes partis te chercher en Suisse où tu étais née et nous y sommes restés quelques semaines pendant lesquelles tu as été  sous observation. Nous ne sommes repartis que lorsque tu as été hors de danger. Tu es donc restée un moment en couveuse mais tout s'est passé pour le mieux car ta maman était pratiquement à terme et tu n'avais que six semaines d'avance. Comme tu n'as pas connu tes grands-parents,  le secret de
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Ce bouquin, elle l'avait amené plus par habitude que par nécessité, car elle s'était dit qu'elle n'aurait ni la force ni le courage de lire, l'important étant de passer le plus de temps possible avec sa mère. Elle s'était d'ailleurs couchée exténuée, sûre de ne pas pouvoir lire, mais après avoir tourné dans son lit sans trouver le sommeil pendant près d'une heure, elle avait changé d'avis. Elle s'endormit satisfaite d'avoir été jusqu'au bout de son roman tout en continuant à éprouver ce sentiment étrange et diffus lié à tout ce qui se passait, et qui, de plus, allait s'intensifiant depuis son arrivée chez sa mère.
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Tout ici est décuplé, nos sens, nos émotions, nous ne sommes pas sûrs d'être vivants encore demain. Lui faire l'amour n'a fait que confirmer les sentiments que j'éprouve pour elle, elle est si douce malgré la rigueur de cet hiver, sentir son parfum envoûtant, malgré nos conditions de vie, c'est la plus agréable odeur qui soit, ses cheveux soyeux, son regard et le plaisir qu'elle a ressenti, je pouvais le lire dans ses yeux. Nous avons pleuré, tous les deux. Elle est la première femme de ma vie, elle sera la dernière.
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Ce jour-là, elle ne cherchait rien de spécial, mais ce lot de six boîtes mis aux enchères à la salle des ventes de Freewicktown, la grande ville de sa région, avait su capter son regard. Il venait tout de même du château des Hardwood, et beaucoup savait que ce lieu renfermait d'incroyables secrets, tant sur la famille qui y vécut que sur ses origines.
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Cet homme-là, quand elle l’a repéré à cette soirée, son cœur a fait un bond en avant et ses yeux se sont régalés. Il avait tout ce qui lui plaisait. Grand, des cheveux châtains qui grisonnaient aux tempes, une barbe de trois jours taillée et entretenue, un regard malicieux et plein d’humour, un corps qui semblait svelte, mais pas mince. De toute façon, elle détestait les « trop maigres », il fallait de la matière à caresser. Il était LE gars qu’elle avait envie d’avoir ce soir. Les regards accrochaient. Il était presque simple pour Bridget d’avoir les hommes qu’elle souhaitait. Sa silhouette, élancée et appétissante, attirait. Des formes généreuses qui montraient qu’elle aimait la vie et qu’avec elle, rien n’était morne. Sa longue chevelure dorée et ondulée ajoutait au tableau le petit plus nécessaire pour qu’ils craquent et ses yeux pétillants les faisaient fondre.Haaaa les hommes, se disait-elle… C’est trop facile.
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Un Château Lafite Rothschild, AOC Pauillac de 1945, dont le prix de base pouvait excéder les 2 460 livres. Elle ne doutait pas, qu'en la remettant aux enchères après identification, elle pourrait en obtenir plus. Quelle découverte ! Même les petits portefeuilles, tellement authentiques, trouveraient preneurs, elle en était certaine.
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Cela lui faisait peur, et excitait également sa curiosité. Qu’attendait-il d’elle, de cette soirée ? À ses regards, à sa façon de lui toucher la main lorsqu’il plaisantait, parce qu’il se moquait gentiment d’elle, Bridget savait ce qu’il voulait. Tout comme elle le voulait. Elle désirait cet homme, dans sa vie, dans son lit, elle avait une furieuse envie de lui. Ses regards qui la déroutaient, l’intimidaient, tout en lui donnaient chaud au cœur et au ventre, sa voix sensuelle qui glissait des mots tendres dans ses oreilles, cela mettait ses sens en ébullition. Et la Guinness aussi. En fond sonore passaient toutes sortes de musique, pendant qu’ils parlaient, et elle savait tendre l’oreille pour apprécier les morceaux qui faisaient de cette soirée la plus parfaite à ses yeux. Cela ne lui était pas arrivé depuis des mois, voire des années.
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Rien que de repenser à son regard, à sa peau qui touchait la sienne, ses maudits papillons revenaient dans le bas de son ventre et faisaient perdre tout rythme concordant à son cœur. Elle en avait le souffle coupé. Elle avait, bien sûr, déjà éprouvé l’envie de coucher avec un inconnu rencontré au hasard d’une soirée, néanmoins, jamais elle n’avait ressenti ce malaise respiratoire, jamais son souffle ne lui avait tant fait défaut. L’imaginer lui caressant les cheveux, lui renversant la tête dans des ébats fougueux, la mettait totalement en émoi. Il était grand temps qu’elle arrive chez elle, tout partait de travers dans sa caboche ! Elle resta sur sa faim et ne comprenait pas que cet homme, pourtant séduit, n’avait pas essayé d’aller plus loin avec elle. Leur langage corporel avait été clair.
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C'est à cet endroit que le hasard a choisi de les réunir. Car dès leur premier échange de regards, leur destin a été scellé. Comme vous vous en doutez, leur amour n'a pas été simple à vivre mais leur a, néanmoins, offert quelques parenthèses de bonheur intense au cœur de la pire des horreurs.
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La vérité, c'est qu’ils se sont aimés avec d'autant plus de passion et de fougue qu'ils pensaient ne pas en sortir vivants. Pour George, Maroussia était la plus belle femme du monde. Pour elle, c'était l'homme de sa vie, le premier et le dernier, peu importait son statut social.
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