En ce milieu d’année 1944, sixième année de guerre, après les combats, les séparations, le froid de l’est, les médiocres portions dans les gamelles, les longues marches de plusieurs kilomètres, les nuits au front, après tout cela, l’armée allemande ne comptait plus aucun nazi. (…) Le front de l’Est avait guéri leur nazisme.