Les mots pervers et les voix calomnieuses que je voulais oublier ne cessaient de danser dans mon esprit. Je voulais les faire taire, mais ma mémoire est sans pitié, elle me renvoyait sans cesse à ce qu’ils avaient dit de moi.
Tu sais, nous sommes faits ainsi, nous humains, pour être marqués à vie par une phrase assassine, un jugement de valeur malveillant. (p.172)