[...] à Samarcande la situation avait encore empiré. On racontait qu'il y avait des groupes de jeunes hommes qui attrapaient les filles habillées à l'occidentale, en minijupes et en tee-shirts sans manches. Ils avaient des lames de rasoir et ils leur lacéraient les cuisses ou les épaules [au nom de l'Islam]. Ainsi, cela laissait des cicatrices et les filles étaient obligées de les cacher. (p. 72)