Dans le cas de strict monologue intérieur, le seul moyen d’élargir la vision consiste à multiplier les points de vue individuels (comme le fait Faulkner dans Tandis que j’agonise, par exemple). Car comment éviter de tomber dans le solipsisme qu’un tel choix formel induit ? Comment prétendre parler du monde, et de quel monde, si la parole est absolument relative à celui qui la profère ?