L'Algérie est, d'abord, un immense espace rural. Et la terre est la plus longue mémoire de l'histoire algérienne. Dépositaire impassible des habitats détruits, des instruments de travail, du déplacement des populations, elle enferme beaucoup de ses secrets ; elle permet de suivre la respiration des civilisations successives ; elle englobe presque tout...» (p 82).