Jules comprend que ça a été dur pour ses parents. (...)
Il les adore, mais quelque chose les sépare définitivement ; cette même chose le rapproche de ses camarades de classe. (...)
... se chahutent, se disputent, ils se battent... Personne n'épargne personne, alors qu'à la maison tout le monde est aux petits soins pour lui et ça le gêne. Tout est fait pour lui faciliter le quotidien, pour lui éviter d'avoir à faire ceci ou cela, mais ce n'est pas la vraie vie. Parfois, chez lui, dans sa propre chambre,, il a l'impression de ne pas être sorti de l'hôpital. Au centre, il ne se sent pas handicapé.