C'est ainsi qu'on ne saura jamais rien, ou presque rien, d'une Théroigne de Méricourt, d'une Claire Lacombe, des sœurs Fernig qui se battirent dans les armées de la République, d'une Anne Quatresols qui s'engagea à seize ans et conduisit des chevaux d'artillerie aux sièges de Liège et d'Aix-La-Chapelle, ou d'une Madeleine Petitjean qui s'enrôla à quarante-neuf ans dans l'Armée de l'Ouest.