En y pensant, je sais ce qui se passe entre Kurt et moi : il est possédé. Je pèse mes mots : pour me couver d'un tel regard et se montrer si ardent, si attentif et adorateur de mes moindres recoins qu'il connaît par cœur - et là aussi je pèse mes mots - pour n'avoir jamais varié dans sa passion, pour faire l'amour à en mourir, il ne peut être que possédé. Comment rejeter un sentiment si rare, qui m'enveloppe sans cesse, même lui absent...