Les cris recommencèrent. Encore et encore. La jeune Rêveuse se prit la tête entre les mains : elle n’en pouvait plus de les entendre. Son corps meurtri la faisait souffrir. Des égratinures parcouraient ses mains et ses jambes, signes qu’elle s’était heurtée à des ronces. Cette forêt devenait de plus en plus hostile.