Le robot s'était approché de lui et lui enserrait la taille,comme un enfant qui demandait à être pris dans les bras de ses parents. De cet assemblage hybride, bancal, émanait une prière, presque un geste de tendresse. Zef ne peut résister. Il se pencha vers le petit être méchanique et lui caressa doucement la tête, retrouvant les gestes qu'il prodiguait jadis à ses propres enfants, à l'âge des chagrins qui ne trouvent pas encore de mots.
- Quoi que j'aie pu faire et quoi que je fasse encore, n'oublie jamais que je t'aime, lui murmura Gabriel.