La forêt recouvrait les collines, la nuit recouvrait la forêt, la peur recouvrait ses pensées. Sa peur avait un son - celui de sa propre respiration terrorisée et de son cœur qui battait -, elle avait une odeur - celle de sa transpiration et de cette chose puante sur sa tête -, elle avait une couleur : noir, noir de la foret, noir de l'âme de ces hommes, noir de sa propre peau.