Alors, l'attaque vint. Féroce. Brutale. Terrifiante. Soudain, il sentit qu'il n'était plus seul. Une fraction de seconde plus tard, quelque chose de souple et de froid s'abattait sur sa tête. Paniqué, il rua et se débattit comme un beau diable mais son agresseur tint bon. Il sentit la chose froide se coller à son nez et à sa bouche. Son cerveau affolé hurla silencieusement : sac plastique ! L'homme lui donna ensuite un coup terrible derrière les genoux et Servaz plia les jambes malgré lui sous l'effet de la douleur. Il se retrouva à terre, le visage dans la boue, tout le poids de l'homme sur lui. Le sac l'asphyxiait.
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