Tout visage immobile est une énigme - toute pierre devenue un visage. Nous passons, il n'en finit pas de durer - Le temps tourbillonne alentour, mais lui nous regarde à la fois de très loin et de très près. C'est qu'un horizon nous sépare : la mort franchie. Les pierres du Mexique ont cette fixité souveraine, même si nous ne savons pas qui dure en elles : le regard de quelle conscience ? Ici, nos sculpteurs ont voulu figer la permanence de la vie - la vie au-delà de la mort ; là-bas, au Mexique, leurs pierres parlent de la permanence de la mort - la mort au-delà de la vie...